Un dossier de 5 pages sur la MiFID est paru dans les Echos d'hier.
Y sont notamment évoqués les coûts de transactions (explicites et implicites) et leur tendance à la baisse, un panorama de la contrainte et de l'opportunité que représente la MiF, et des focus particuliers sur la best execution, la clarification qu'elle implique des relations entre gérants et courtiers, la transparence comme condition du succès des marchés et le place centrale accordée au client dans cette directive.
Ce dossier évoque également les inducements et confirme qu'ils représentent, avec la best execution, les deux principaux enjeux sur lesquels la MiFID n'est pas encore intégralement transposée.
Quid, en effet, de la transparence des rétrocessions des commissions de gestion pratiquées par les sociétés de gestion vers les distributeurs ? Quid des conflits d'intérêts potentiels des distributeurs pouvant être incités à privilégier tel ou tel fond ? Quid de l'amélioration de la qualité du service rendu au client par le distributeur ? Quid du statut de CGP ?
Rappelons que ces questions relatives aux inducements ont fait l'objet d'une consultation spécifique de CESR à laquelle l'AFG a répondu officiellement - ces documents sont en ligne sur le Blog -.
A suivre ...
Le lien vers l'article (payant) ici :
http://www.lesechos.fr/info/marches/4554245.htm